La Musique militaire – Collectif
Collectif
COLLECTIF. La Musique militaire.
Éditions : Carnets de la Sabretache N° 187
Date de publication : mars 2011
• OTHOLAN Henri, La musique militaire, tout un patrimoine ! (1 page)
• HASSADIS Jean-Marie, La musique militaire des origines à la fin du Second Empire (8 pages)
• SANCHO Michel, La musique militaire française sous la Troisième République (9 pages)
• FRANCFORT Didier, Hymnes et chansons patriotiques dans la construction des nations européennes avant la Grande Guerre (6 pages)
• BOUZART Thierry, 1831, le clairon remplace le tambour dans l’armée française (5 pages)
• MARNAY Matthieu, Musiciens, musiques et fanfares en figurines (1 page)
L’historien militaire sait tout le remarquable travail qu’accomplit La Sabretache, société de collectionneurs de figurines et des amis de l’histoire militaire. Association culturelle sans but lucratif, elle est régie par la loi de 1901 et reconnue d’utilité publique. Elle publie Le Carnet de la Sabretache, revue d’histoire militaire et d’uniformologie éditée à Paris depuis 1893. Elle publie également des dossiers « hors-série » portant sur des thèmes précis qui font référence dans les milieux de l’uniformologie, de la collection de militaria, de la reconstitution historique et de la figurine napoléonienne. Elle dispose également à Paris d’une bibliothèque conséquente dont les ouvrages sont consultables sur demande.
Sous l’impulsion de son président Michel HANOTAUX, cette société a sollicité quelques auteurs pour réunir huit articles consacrés à la musique militaire à travers les âges. Il est surtout utile de préciser que ce résumé sur les musiques militaires (essentiellement françaises) bénéficie d’une abondante illustration choisie avec soin.
Nous attirons l’attention de nos collègues musicologues sur une étude comparative menée par Didier FRANCFORT sur les hymnes européens à la veille de la Première Guerre mondiale. Elle complète une fois encore son ouvrage fondamental Le Chant des Nations, Musiques et Cultures en Europe 1870-1914.
— Patrick PÉRONNET